Des débuts en Inde à la création d’une méthode à part entière, cette vidéo racontent l’évolution d’un parcours unique, au service d’un rire structuré, conscient et profondément humain

Introduction

Salut, et bienvenue. Cette vidéo est la première d’une série de trois, créée pour te faire découvrir la méthode Rire Bien-être — ou Laughter Wellness, dans sa version internationale. Si tu cherches une manière nouvelle, simple et puissante de ramener plus de légèreté, de lien et de vitalité dans ta vie ou ton métier, alors cette série est pour toi. Tu vas y découvrir un outil concret qui peut transformer non seulement ton rapport au rire, mais aussi ta façon d’accompagner les autres — en profondeur, et durablement. Au programme : Comment cette méthode est née, Ce qui la rend vraiment différente, Et comment tu peux l’utiliser, dès maintenant, dans ta pratique ou ton quotidien. J’ai choisi de te tutoyer dans cette vidéo. Pas par manque de respect — bien au contraire. C’est un choix délibéré, parce que ce dont je vais te parler est personnel, sensible, et humain. Et parce que ce que cette méthode propose, c’est justement de recréer du lien. Alors autant commencer tout de suite. Je voudrais d’abord te raconter quelque chose de personnel, parce que c’est important. Je m’appelle Sebastian Gendry. J’ai la double nationalité française et américaine, et depuis 20 ans, je travaille à plein temps comme professionnel du rire. Je sais — ce n’est pas un métier courant. En toute sincérité, il y a un temps ou j’aurais probablement trouvé ça absurde. Pour moi, dans ma jeunesse, le rire, c’était quelque chose de superficiel — peut-être amusant, mais sûrement pas sérieux, et encore moins un chemin de vie. Pourtant, c’est bien lui qui m’a remis sur le mien. Je ne suis pas humoriste Et je ne suis pas là pour suggérer qu’il suffit de rire de ses problèmes pour les faire disparaître. Mon métier, c’est montrer comment utiliser le rire comme un outil sérieux pour faciliter la croissance personnelle, la guérison, et le lien humain. La meilleure façon de résumer tout ce que ça apporte tient en une seule phrase : « Tu ne sais pas ce que tu manques. » Et ça, c’est pas un argument de vente. C’est le reflet de quelque chose de très concret — des bienfaits qu’on peut voir, mesurer, et surtout, ressentir. Sauf que ça je le sais maintenant — mais comme je le disais, ça n’a pas toujours été le cas. Pendant longtemps, pour moi, le rire, c’était juste des blagues. Et c’est là que mon histoire commence.

Rire et silence émotionnel

J’ai grandi dans une famille où — par chance — on s’aimait profondément, MAIS où le rire n’était pas vraiment une priorité. Et ça, c’est parce qu’exprimer ses émotions, quelles qu’elles soient, pour nous c’était pas facile. J’ai mis longtemps à comprendre qu’en fait et depuis des générations, la compétence nous servait d’armure; pour tenir, pour rester utiles, pour avancer. Il y a eu beaucoup de souffrance dans mon histoire familiale. Alors la joie — comme la tristesse — c’était quelque chose de discret, de retenu. On riait bien sûr MAIS seulement s’il y avait une bonne raison. Et même là, ça durait pas longtemps. SAUF QUE moi, j’adorais rire — alors j’ai commencé à collectionner des raisons de le faire, principalement sous forme de blagues. Et pendant un temps, ça a marché. J’ai même commencé à en faire un livre. MAIS — tu vas le voir, il y a beaucoup de rebondissements dans mon histoire — il s’est lentement passé quelque chose que je n’ai pas vu venir et qui a été terrible : J’ai grandi. Et avec le temps, j’ai commencé à voir des choses qui sonnaient faux. Comme le fait que mes blagues me faisaient rire moi sur le moment, MAIS que pour un moment, parce qu’elles vieillissaient mal; Qu’elles faisaient rarement rire tout le monde; Et surtout, et là ça a été mon grand chagrin de jeunesse, que ce que j’essayais de combler avec l’humour, c’était en fait un vide beaucoup plus profond que j’avais pas inventé et qui venait de loin. J’ai grandi en intégrant l’idée, transmise par les générations avant moi, que la vie est dure, qu’il faut la prendre au sérieux, et que la joie, c’est un luxe — voire une forme d’irresponsabilité. Alors, au lieu de m’autoriser à simplement la ressentir, Ce que j’avais fait, c’est chercher à la mériter En misant sur un truc que je pensais pouvoir contrôler : les blagues. Dans ma tête d’enfant, c’était simple : Si je faisais rire les autres… Si je devenais quelqu’un de sympa, qu’on aime bien… Alors peut-être que moi aussi, j’aurais le droit de me sentir bien. Mais plus j’essayais, plus ça m’échappait. Parce que c’est comme essayer de remplir un verre vide et percé. Peu importe ce qu’on met dedans, ça ne tiendra jamais. Ce dont j’avais vraiment besoin, ce n’était pas de prouver que j’étais « assez ». Mais juste de m’autoriser à être moi. De rire — pas pour impressionner ou faire plaisir — mais juste parce qu’une partie de moi en avait envie. De laisser entrer la joie… sans avoir besoin de justifier sa présence. Mais à l’époque, je n’avais pas les mots pour ça. Il n’y avait pas encore de mouvement de psychologie positive. Et pas de « science du bonheur » pour m’orienter autrement. J’étais jeune, sans repères, et je ne savais même pas qu’on pouvait faire autrement. Alors j’ai fait ce qui m’a semblé le plus simple — et le plus logique : j’ai abandonné. Le livre, bien sûr — mais aussi, sans le savoir à ce moment-là, l’idée même que le rire pouvait avoir une place dans ma vie. Et je me suis réfugié dans ce qu’on m’avait appris et que je savais faire : être efficace, être productif, être utile. Et à 30 ans à peine, j’avais déjà fait deux burn-outs. De l’extérieur, j’avais l’air d’avoir réussi. Mais à l’intérieur, je me sentais vide, Épuisé. Et de plus en plus déconnecté de la vie.

Années Yoga du Rire

Fort heureusement, la vie m’a tendu la main. Un jour, je suis tombé par hasard sur un article qui parlait des clubs de rire en Inde. Des gens qui se retrouvaient régulièrement, uniquement pour rire comme si c’était une forme d’exercice. Ça parut tellement absurde. Je me suis dit que c’était peut-être exactement ce qu’il me fallait. Alors j’ai pris l’avion, j’ai traversé la moitié du monde et je suis allé en Inde et j’ai suivi une formation. Et dès le premier jour, une lumière s’est allumée en moi et j’ai trouvé ma place. J’ai vécu — dans mon corps, pas juste dans ma tête — quelque chose que je portais en moi depuis longtemps, sans jamais m’être autorisé à le vivre pleinement : la possibilité de rire sans permission à demander. Sans condition. Juste parce que j’en avais envie. Et ça, ça m’a retourné. Parce que jusque-là, j’avais rayé le rire – et donc la joie – de ma vie. Je pensais que ce n’était pas pour moi et donc mon objectif n’était jamais d’aller bien, mais seulement d’éviter, autant que possible, d’aller mal. Or le rire était facile et ce n’était pas une idée. C’était réel. Et pour la première fois depuis très longtemps, je ne me suis pas juste senti un peu mieux — je me suis senti vivant et à nouveau plein d’espoir. Alors je me suis lancé. De retour en Californie où j’habitais, j’ai créé une entreprise autour de cette approche du rire, et les choses se sont enchaînées. J’ai commencé à offrir des formations localement, et puis un peu partout aux USA. Et puis en 2007, Oprah Winfrey m’a demandé d’organiser et d’animer une séance de Yoga du Rire pour son talk-show, le plus grand du monde à l’époque, ce que j’ai fait. Cette émission, elle a été rediffusée 3 fois, et à chaque fois elle a touché plus de 150 millions de personnes dans Dieu sait combien de pays. Aux USA c’était 49 millions de personnes, à chaque épisode. Ça a donné une impulsion considérable à la diffusion du yoga du rire. Moi, ça m’a propulsé, littéralement : comme j’étais le formateur le plus actif dans le monde dans mon domaine, j’ai naturellement bénéficié de cette visibilité et me suis mis à former non plus des centaines mais des milliers de personnes sur cinq continents.

Naissance du Rire Bien-être

À ce moment-là pour moi, c’était clair : RIEN ne pouvait m’arrêter. Le succès était là. Les gens riaient. Ils se connectaient, vraiment. Ils repartaient en meilleure santé, plus vivants. Et moi aussi, je me sentais mieux après avoir ri. Sauf que ça, c’était la face publique. Parce que pendant cette même période, ma vie personnelle s’est effondrée. J’ai traversé un divorce et on avait fait un enfant ensemble et ce petit bonhomme-là, il avait juste 6 ans. Alors ce que je vivais, c’était un grand écart émotionnel, permanent : des sommets de joie et d’humanité dans mon travail… suivis d’abysses de mal-être, sans fond, entre chaque voyage. J’étais en train d’offrir du mieux-être au monde — mais chez moi, c’était le chaos. Naturellement, l’écart entre ce que je disais, et ce que je ressentais s’est mis à grandir. Et c’est devenu très dur à vivre, parce que beaucoup venaient me voir pour raviver leur étincelle… alors que moi, j’étais en train de perdre la mienne. J’ai compris qu’en fait je ne changeais la vie de personne. J’étais juste devenu un expert dans la création de bulles de joie. Des espaces pleins de rires et de chaleur humaine, oui — mais souvent déconnectés du quotidien. Ça fonctionnait. Les gens repartaient touchés, transformés même… mais pour combien de temps ? Moi, dès que je rentrais à la maison, je retrouvais exactement ce que j’y avais laissé : un profond mal-être. Et à force de me poser des questions, un jour j’ai compris pourquoi : j’avais passé ma vie à subir ce que je ressentais, comme si mes émotions dépendaient toujours des autres ou de l’extérieur. Moi, j’avais aucun problème. Enfin, c’est ce que je croyais. Le problème, c’était les autres. Surtout elle. En fait, je ne riais pas vraiment pour aller bien. Je riais juste pour aller moins mal. Et ça, ça me maintenait constamment centré sur ce que je voulais éviter, plutôt que sur ce que je voulais vraiment vivre.

Alors, j’ai fait une pause. Pas pour abandonner le chemin que j’avais choisi — mais pour comprendre ce qui me manquait vraiment, et pourquoi. J’ai eu la chance d’avoir beaucoup d’occasions d’expérimenter. Alors, je l’ai fait. Et peu à peu, un schéma très clair s’est dessiné. Quand je m’appuyais sur : une structure précise, une intention claire (comment je voulais être là), et surtout un vrai sens (pourquoi je faisais ce que je faisais)… quelque chose changeait profondément. Le rire devenait plus ancré. L’énergie dans la pièce durait plus longtemps. Les gens ne faisaient plus seulement que passer un bon moment — ils repartaient avec quelque chose de solide, qui restait avec eux. Ils se sentaient plus ouverts, plus résilients, plus confiants face à la vie — et à l’avenir. Et moi, de mon côté, je ne pouvais plus faire comme avant. Ça m’a obligé à tout revoir. À reconsidérer chaque exercice, chaque activité. À me demander à chaque fois : Pourquoi je propose ça ? À quoi ça sert vraiment ? C’est quoi ma logique d’ensemble ? Et c’est comme ça qu’est née la méthode Rire Bien-être. Pas en ajoutant deux ou trois idées de plus. Mais en reconstruisant tout ce que je faisais, pour que ça repose sur des bases claires, solides, vivantes. C’est une approche où chaque activité a du sens. Où on rit, oui — et beaucoup — mais jamais “juste pour s’amuser”. Le rire y est central, mais il sert à ouvrir des portes, pas à faire diversion. Ce que je cherchais, ce n’était plus seulement à faire du bien sur le moment, mais à proposer quelque chose qui reste. Un espace, des pratiques, que chacun puisse emporter dans sa vie quotidienne. Pas juste un bon souvenir… mais des repères, des outils accessibles, qui aident à retrouver plus de calme, plus de confiance, et surtout, à se reconnecter à son propre élan de vie. Dans un cadre à la fois structuré, joyeux, et profondément sincère. Le Rire Bien-être, ce n’est pas un outil pour fuir ce qui fait mal. C’est une invitation à rencontrer ce qu’on vit, avec plus de douceur, de légèreté, et de présence. Ce n’est pas une parenthèse hors du monde. C’est une façon d’y être pleinement — même quand ce n’est pas confortable. Alors évidemment, ça a créé des problèmes avec mes collègues du Yoga du Rire. Ce que je proposais n’avait plus grand-chose à voir avec la méthode d’origine. La forme avait changé. Le fond aussi. Et ce n’était plus juste une évolution personnelle : c’était devenu une autre approche, avec une autre logique. Alors, par respect pour leur travail — et par cohérence avec le mien — j’ai décidé de lui donner un nom propre : le Rire Bien-être. Celles et ceux qui l’animent l’adorent, parce qu’il n’y a pas besoin d’improviser, ni d’être drôle. On peut juste s’appuyer sur une structure qui est claire, et qui permet de développer de vraies compétences de vie — en jouant. Et les participants l’aiment aussi, parce que oui — ça les aide à se sentir plus légers, moins stressés, plus connectés. Comme beaucoup d’approches autour du rire. Mais ce à quoi ils ne s’attendent pas toujours, c’est qu’en plus… ils repartent avec des outils concrets, des choses simples qu’ils peuvent vraiment utiliser dans leur quotidien. Et dans un monde qui va toujours plus vite et qui nous met toujours plus de pression, ce genre de rire, ce n’est pas juste utile. C’est essentiel.

Conclusion

En conclusion — je ne suis toujours pas particulièrement drôle. Mais j’ai appris à canaliser le rire — pas pour fuir ce qu’on ressent, mais pour l’habiter autrement, avec ancrage et humanité. Pour moi c’est devenu un outil concret, qu’on peut transmettre, répéter, et qui touche à l’essentiel. Et dans les deux prochaines vidéos, je vais vous montrer comment faire pareil — pas en jouant un rôle, mais en suivant un processus qui fonctionne. Ce que je te propose ici dans cette série de vidéos ce n’est pas un mode d’emploi. C’est une clef de lecture. Un autre regard. Parce que le vrai changement ne commence pas par ce qu’on fait — il commence par ce qu’on comprend. C’est un peu comme mettre une nouvelle paire de lunettes. Rien n’a changé autour de vous — mais soudain, tout paraît différent. Et ça change votre façon d’avancer. Peut-être que tu travailles avec des groupes, ou que tu accompagnes les autres dans leur chemin, ou peut-être que tu cherches simplement plus d’énergie, de clarté, et de légèreté dans ta vie. Dans tous les cas, tu es au bon endroit. Alors allons-y. Il y a sans doute plus ici que ce que tu imagines.

Notre parcours en images

Première formation de professeurs de Yoga du Rire. Un concept fluide. Dix ans d’histoire mais toujours pas de manuel. Sebastian Gendry écoute le jour… écrit la nuit. Il structure, clarifie, transmet. Le premier manuel officiel du Yoga du Rire est né.

2004, Inde

Première formation mondiale de professeurs de Yoga du Rire. Dix ans d’histoire, mais toujours pas de manuel — juste un livre compilant des articles. Sebastian Gendry écoute le jour, écrit la nuit. Il structure, clarifie, propose un cadre. Le premier manuel de formation, adopté immédiatement, est né.

Sebastian rejoint Laughter Yoga International en tant que directeur mondial des Opérations. Sa mission : structurer le mouvement et accompagner son expansion internationale. Première réunion du comité directeur à Kerala, en Inde. Le Yoga du Rire entre dans une nouvelle ère.

2005, Inde

Sebastian rejoint Laughter Yoga International en tant que directeur mondial des Opérations. Sa mission : structurer le mouvement et accompagner son expansion internationale. Première réunion du comité directeur à Kerala, en Inde. Le Yoga du Rire entre dans une nouvelle ère.

2006, Californie

Sebastian organise la première conférence internationale du Yoga du Rire hors d’Inde. Sa campagne de presse porte ses fruits : CNN couvre l’événement. Le reportage devient un segment central de l’émission spéciale de 3 heures « Le bonheur et votre santé », animée par le Dr Sanjay Gupta. Diffusée dans 200 pays, vue par des millions de personnes.

Après CNN, c’est Oprah Winfrey qui s’intéresse au Yoga du Rire. Elle contacte Sebastian pour organiser une séance en urgence, pour son coiffeur déprimé. Avec seulement trois jours pour tout mettre en place à 3000 km de chez lui, il relève le défi. L’émission, diffusée globalement, est suivit par 150 millions de téléspectateurs fidèles. Le Yoga du Rire change d'échelle.

2007, Chicago

Après CNN, c’est Oprah Winfrey qui s’intéresse au Yoga du Rire. Elle contacte Sebastian pour organiser une séance en urgence, pour son coiffeur déprimé. Avec seulement trois jours pour tout mettre en place à 3000 km de chez lui, il relève le défi. L’émission,  diffusée globalement, est suivit par 150 millions de téléspectateurs fidèles. Le Yoga du Rire change d’échelle.

Sebastian franchit le cap du million de kilomètres parcourus. Des centaines de programmes animés, des milliers de personnes et d’organisations touchées à travers le monde. Il est nommé premier Master Trainer du Yoga du Rire. Une reconnaissance majeure pour un engagement sans frontières.

2010

Sebastian franchit le cap du million de kilomètres parcourus. Des centaines de programmes animés, des milliers de personnes et d’organisations touchées à travers le monde. Il est nommé premier Master Trainer du Yoga du Rire. Une reconnaissance majeure pour un engagement sans frontières.

Sebastian lance la première formation en ligne au monde dédiée au Yoga du Rire. Le Dr Kataria s’y oppose fermement : « Ça ne marchera jamais. » Ce refus marque un tournant. Sebastian réalise que sa méthode ne rentre plus dans le moule. Il trace sa propre voie : Une nouvelle aventure commence.

2012

Sebastian lance la première formation en ligne au monde dédiée au Yoga du Rire. Le Dr Kataria s’y oppose fermement : « Ça ne marchera jamais. » Ce refus marque un tournant. Sebastian réalise que sa méthode ne rentre plus dans le moule. Il trace sa propre voie : Une nouvelle aventure commence.

Sebastian entame son 20ᵉ tour du monde du rire — de l’Europe de l’Ouest à l’Est, en passant par le Moyen-Orient, l’Australie, l’Amérique du Nord et du Sud — pour former, inspirer et transmettre les bases d’un rire conscient et structuré.

2016

Sebastian entame son 20ᵉ tour du monde du rire — de l’Europe de l’Ouest à l’Est, en passant par le Moyen-Orient, l’Australie, l’Amérique du Nord et du Sud — pour former, inspirer et transmettre les bases d’un rire conscient et structuré.

Alors que la notoriété grandit, Sebastian refuse de faire carrière ou de transformer sa méthode en franchise. L’argent n’a jamais été sa motivation. Sa passion, oui. Il se consacre à l’essentiel : créer, transmettre, affiner. Certains cherchent à briller. Lui a préféré rester fidèle à son chemin.

Depuis 2022

Sebastian rentre en France après trois décennies à l’international. Il pose ses valises et prend le temps d’intégrer tout ce qu’il a transmis pendant les 20 dernières années. Moins visible, mais plus essentiel : il affine sa méthode et prépare la suite. Le Rire Bien-être mûrit en silence.