Pratiquer

Rire avec soi n’est pas une méthode, c’est une présence. Quand tout se fige, ce geste simple relance le souffle et le lien au vivant. Ici, pas de performance ni de recette miracle : un cadre doux, quatre portes d’entrée, et l’option d’un rythme qui respecte ton corps et ta réalité.

Rire quand tout va bien, c’est facile. Rire quand tout s’effondre, c’est un acte de courage. Ce rire-là ne nie pas la douleur : il la transforme en mouvement. Il rappelle que même au cœur de la tempête, quelque chose en nous demeure vivant.

Le rire ne pousse pas dans le vide. Il dépend d’un terrain vivant — ton corps, ton souffle, tes liens. Parler d’écologie du rire, c’est comprendre ce qui rend la joie possible : une santé du corps, une clarté de l’esprit, une qualité de lien. Cet article explore les bases concrètes de ce vivant intérieur : respirer, boire, se nourrir, bouger, se relier.

Rire avec les autres n’est pas un hasard. Quand le cadre est juste, le rire devient un langage de cohésion, un régulateur de tension, un signe que la vie circule entre nous.